Quel type de prêt souhaitez-vous réaliser?

3 Qualités 3 Défauts: Guide Secret de l’Entretien d’Embauche!

Marion

Quand on passe un entretien d’embauche, la question des 3 défauts et des 3 qualités revient souvent. Mais chaque métier a ses pièges. Afin d’éviter le stress ou le "blanc" total si on vous la pose, voici nos conseils à suivre pour une bonne préparation.

3 qualités 3 défauts pour une aide-soignante / infirmière (IDE)

L'idée est de plaire au recruteur, mais surtout de vous définir, si un angle qui vous présente à votre avantage. Voici nos pistes pour vous aider à préparer un entretien d'embauche pour un poste d'aide-soignante.

3 points forts

3 faiblesses

3 qualités 3 défauts pour une auxiliaire de puériculture

Vous vous apprêtez à vous occuper d'enfants et à en faire votre métier ? Voici les bonnes choses vous concernant à mettre en avant ainsi que les défauts positifs à dire lors d'un entretien d'embauche.

3 points forts

3 faiblesses

3 qualités 3 défauts pour une auxiliaire de vie (AVS)

Le recruteur va rechercher en vous certaines compétences précises. Restez sincère avant tout. Rechercher un bon feeling peut aussi être une bonne solution pour postuler à un emploi d'auxiliaire de vie.

3 points forts

3 faiblesses

3 qualités 3 défauts pour une hôtesse de caisse

Il va falloir y répondre et accepter que le recruteur entre un peu dans son intimité par ce biais, même pour un job d’été. Mais ce que ce dernier attend surtout, c’est que les réponses soient en adéquation avec le poste.

3 points forts

3 faiblesses

3 qualités 3 défauts pour un animateur / une animatrice

Ce ne sont pas ses atouts qu’il faut mettre en avant (déjà présents dans le CV et dans la lettre de motivation) mais bien votre capacité à comprendre ce qu’on attend de vous.

3 points forts

3 faiblesses

3 qualités, 3 défauts : pourquoi cette question lors de l'entretien d’embauche ?

Si on vous la pose, c’est que la partie « entretien psychologique » a commencé.

Qui êtes-vous ?  Décrivez votre personnalité ? Il n’y a pas pire comme questions pour avoir les mains moites à un entretien. Du manager à l’auxiliaire de puériculture, la mode est aux tests psychotechniques, et les recruteurs guettent les réponses, bien plus que la barbe ou les tatouages.

Il ne s’agit pas d’un test de logique, mais bien de sonder l’âme et la motivation d’un candidat, et plus le poste exigera des responsabilités importantes, et plus les questions seront tordues. Les exemples de défauts en font parties, et ce n’est pas la réponse la plus simple à donner, loin de là.

Il est clair que c’est un piège destiné à écrémer les candidats. Si on vous demande vos qualités, partez dans l’idée que le futur employeur va regarder en premier votre humilité. Si vous avez l’impression de valoir plus que les personnes actuellement dans la boîte, il vaut mieux attendre d’avoir signé son CDI avant de le faire savoir à tous les services. Si on vous demande vos qualités, c’est pour mieux cerner vos défauts.

Liste des défauts qui sont aussi des qualités

Il va falloir éviter le piège, mais aussi s’y coller. Pas moyen de s’en tirer par une pirouette bien sentie. N’oubliez pas que ceux-ci doivent au final aller dans votre sens, et vous procurer un avantage. Il ne faut pas se griller avec des défauts qui ne seront que des boulets au pied. Il va donc falloir trouver les mots, car au final, n’importe lequel d’entre eux peut se retourner dans le bon sens.

Tous les secteurs d’activités n’ont pas les mêmes exigences. L’idée d’avoir encore des choses à améliorer chez vous peut plaire à un futur employeur. Il faut quand même savoir qu’il y a des points forts qui passent mieux que d’autres. Il ne faut pas être trop prétentieux ni trop modeste. L’équilibre est instable, à vous de savoir le trouver.

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Réussir son entretien d’embauche : nos 11 conseils

Si vous êtes arrivé à ce niveau de l’article, une conclusion a déjà dû se former dans votre esprit : il n’y a pas de place à l’improvisation. Il faut se connaître, dans ses qualités et ses défauts. Répondre à une annonce, c’est une démarche active qui a un but final : se faire embaucher.

L’entreprise doit sentir que vous l’avez choisi, et pas que vous êtes ici parce que vous passez tous les entretiens qui se présentent. Attention donc à bien tourner sa langue 7 fois dans sa bouche pour ne pas dire d’inepties pouvant plomber de façon irrémédiable une candidature.

Dites-vous bien que les recruteurs font passer des milliers d’entretiens et qu’ils entendent toujours les mêmes banalités. Ils n’en sourient plus depuis bien longtemps.

S'entrainer

Se rendre à un entretien d'embauche sans avoir travaillé ses réponses ne sert à rien. Le «feeling» n’a pas sa place. Car mettre du temps pour répondre, laissez copie blanche, ce sont des signes qui ne trompent pas pour le recruteur : le candidat ne s’est pas donné les moyens de réussir.

Parler de longues minutes de soi, c’est dur. Car si vous êtes face au recruteur, c’est que vous avez déjà passé une étape et que votre CV est sorti du lot. Il serait bête de gâcher toutes ses chances pour une langue qui fourche ou pour un bilan mal fait.

Pour ne pas se mettre dans la peau d’une victime avant même d’avoir commencé, il y a plusieurs techniques. Celle du miroir est la plus simple, et elle fonctionne assez bien. On peut ainsi s’auto-juger, voir les points qui peuvent énerver l’autre, ceux qu’il faut travailler… Il faut s’entraîner à égrener les différentes étapes de son parcours professionnel, même si elles apparaissent déjà dans le CV.

Ensuite, il faut passer à l'étape de s'entrainer avec une véritable personne, en qui on a confiance, un copain ou sa moitié. C’est l’occasion de faire un retour vers le passé et d’essayer de comprendre pourquoi ça n’a pas fonctionné dans les expériences professionnelles précédentes. Il faut le faire en toute objectivité.

Comprendre qu'il n'y a pas de bonnes et de mauvaises réponses

Les réponses à donner en entretien d’embauche ? Chaque recruteur peut réagir différemment. Mais il y a quand même des règles à connaître, pour éviter de se jeter dans la gueule du loup et de perdre son temps (ainsi que l’estime de soi).

La première est de laisser les lieux communs à mille lieux de soi. Être têtu, c’est normal, tout le monde l’est. Les défauts doivent être de véritables défauts, et non pas de fausses qualités. Il faut donc en trouver qui peuvent aller avec le poste visé, mais qui ne viendront pas empêcher de faire bien son travail.

Bien préparer son entretien

C’est compliqué, ça demande du temps et un gros travail d’analyse de ce qui est attendu. Il faudra même aller encore plus loin, en développant chaque terme énoncé, pour le contextualiser.

Donner un défaut, c’est bien, mais il va falloir l’expliquer, puis montrer qu’on peut s’améliorer et le gommer, là encore en donnant des exemples concrets. Tout l’exercice va constituer à démontrer qu’on peut faire de ses défauts des forces pour être performant dans le poste.

Il n’est pas évident de se connaître quand on débute dans le monde du travail. Raison de plus pour préparer son rendez-vous de la meilleure des façons possibles en évitant de dire quelque chose qui pourrait nuire juste par manque de préparation.

Il n’y a pas que les défauts (appelés aussi par certains recruteurs points faibles) sur lesquels on peut trébucher lors d’un entretien d’embauche. Les chasseurs de tête ont bien d’autres flèches à décocher au candidat trop sûr de lui.

Maîtriser les moindres détails. Pour savoir où vous mettez les pieds, et pouvoir donner les réponses que le recruteur attend sûrement de vous, il faut connaître l’entreprise sur le bout des doigts : les missions, l’historique, l’organisation, le nombre de salariés… Internet est la source la plus facile pour cela. En cherchant bien, tous les renseignements y sont forcément. Même chose pour l’annonce, il faut l’avoir mémorisé.

Bon à savoir pour les demandeurs d’emploi : Pôle Emploi organise souvent des cessions pour s’entraîner aux entretiens d’embauches, et en maîtriser tous les rouages. Il y a une méthode : il faut la connaître, point barre.

Connaître les choses à ne pas dire

Même si vous avez travaillé dur pour votre entretien et que vous êtes persuadé d’avoir la science infuse, il y a des défauts à ne surtout pas évoquer.

N’allez pas claironner sur les toits que vous êtes une personne agressive, même si vous postulez à un poste de commercial. Même chose pour l’esprit d’indépendance. Même un VRP doit rendre des comptes à son supérieur. Rappelez-vous que c’est le travail d’équipe qu’il faut savoir mettre en avant et valoriser.

Quant à ceux qui vont se venter de ne pas être des modèles de rigueur, il vaut mieux songer à devenir auto-entrepreneur, personne ne voudra les embaucher.

Le but est donc de ne pas se faire éliminer à cause d’une simple question, beaucoup plus déstabilisante qu’elle n’y paraît. Rappelez-vous que toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire. Ainsi, si on était en poste avant, la question de sa démission (ou de son licenciement) viendra forcément sur le tapis à un moment de la discussion.

Pour éviter de donner le bâton pour se faire battre, mieux vaut éviter de taper sur ses anciens collègues ou sur sa hiérarchie. Viendra ensuite le futur, et la fameuse question pour savoir où le candidat se verra dans 5 ans.

Il faut avoir réfléchi à son avenir à moyen terme, tout en ne faisant pas preuve de trop d’ambition, là encore, les français n’aiment pas trop cela (pour en entretien aux USA les choses seraient différentes). Mieux vaut suivre le plan de carrière possible.

Être original

Un peu d’originalité ne fera de mal à personne, et piquer la curiosité de l’autre est toujours un bon point, pouvant déboucher sur un dialogue constructif. De toute façon, il faudra sortir du lot, car il y a de la concurrence qui se ronge les ongles dans la salle d’attente. Si l’innovation n’est pas votre fort, travaillez-la pour être prêt le jour J.

La partie est loin d’être gagnée d’avance, et si vous misez tout sur la ponctualité, vous risquez fort de continuer à pointer à Pôle Emploi encore un bon bout de temps.

Être positif

Restez toujours positif dans la manière de vous décrire, même pour les défauts. Pensez à toujours contrebalancer un élément négatif par quelque chose de positif. Ainsi, les recruteurs aiment les personnes qui se définissent comme optimistes.

Arriver le matin avec le sourire aux lèvres est plus agréable pour l’entreprise qu’un salarié qui tire toujours la gueule, car il pense que rien ne va dans ce monde. C’est ce qui s’appelle être constructif. La motivation est bien plus facile à trouver dans le positif que dans le négatif.

Mettre en avant les qualités attendues

Il faut être capable de s’adapter : aux autres, à son rythme de travail, aux tâches demandées, aux heures supplémentaires, aux changements… Dans le monde moderne, on demande avant tout de la souplesse, mais aussi de la curiosité. Le jeu ne consistera donc pas à aller fouiller dans le bureau de son supérieur, mais plutôt d’essayer d’apprendre au maximum des autres.

C’est ce relationnel qu’il faudra développer, en insistant qu’on passe bien dans une équipe, pas parce qu’on fait le pitre, mais parce qu’on est aimable avec son prochain.

Cette qualité va de pair avec celle de l’écoute. Ça changera du « je » constant que certains tyrans nous font vivre au bureau et qui est loin d’améliorer l’ambiance au sein d’une équipe (sans se prendre pour Mère Thérèsa, hein).

Il y en a d’autres qui passent très bien, et qui ne risquent pas de vous faire passer pour quelqu’un de prétentieux. Ce sont celles qui sont liées à l’esprit d’initiative, surtout lors d’un entretien avec plusieurs candidats en même temps, et à l’intuition : mieux vaut prévenir que guérir.

Adopter le bon comportement

Ce n’est pas une qualité, mais une façon de mener son entretien : il faut être convaincant dans tout ce qui est dit. On doit vous croire (même si ce n'est pas toujours totalement vrai) !

Il faudra donc mettre un peu de passion dans vos réponses, et beaucoup quand vous allez parler du métier. Cela contribuera à donner de vous une image largement positive.

Soyez actif dans la discussion. Posez des questions, ne vous contentez pas de subir. Pensez aussi à articuler clairement, il n’y a rien de pire que de parler dans sa barbe, et à ne pas être en retard à l’entretien, grève des transports ou non.

Ce qu’il faut faire : ne pas se faire des idées, ne pas y aller comme un perdant, croire en soi et en ses chances. Et puis, pourquoi ne pas laisser entendre que vous avez d’autres opportunités. Quand la pression change de camp, ça fait du bien !

Être soi-même

Car il n’y a pas que la longue liste des compétences du CV qui compte, mais aussi la personnalité du candidat. Ainsi, le recruteur appréciera d’avoir en face de lui quelqu’un de souriant, ayant de la répartie (mais pas trop, cela pourrait être pris pour de l’impertinence) avec un léger sens de l’humour (merci quand même de ne pas raconter trop de blagues).

Généralement, les jeux de mots passent bien, quand ils sont pertinents, et permettent de détendre les deux parties (mais point trop n’en faut).

Toujours répondre quelque chose

Ces questions, qui peuvent déstabiliser, il n’est malheureusement pas possible de les éviter, en refusant de répondre, même gentiment. Il faut donc dire quelque chose, au risque que l’entretien s’arrête là. Ne donnez aucune réponse conduit à l’élimination directe.

Se mettre à la place du recruteur

Passer de l’autre côté du miroir et se mettre à la place du recruteur permet de savoir à quoi s’attendre. Car rappelez-vous que son but à lui est de trouver la bonne personne.

Il n’a pas le droit à l’erreur, donc ne vous en passera aucune. Une entreprise prend des risques financiers en embauchant une nouvelle personne.

On comprend qu’elle souhaite les limiter au maximum, car une fois le CDI signé, bon courage pour se séparer d’une personne qui ne convient pas. Le recruteur n’est pas votre ennemi.

La délicate question de la rémunération

À un moment, il faudra parler de la paye. Si l’interlocuteur ne l’a pas encore évoqué, et que l’entretien arrive à son terme, c’est au candidat de prendre le relai sur le sujet, ou non. Parler d’argent en France est difficile. Généralement, c’est pour ne pas effrayer le candidat quant à la faiblesse de la rémunération…

Si la question vous taraude, posez là. Tout travail mérite salaire, et il n’y a pas de mal à vouloir savoir le montant de celui-ci. Mais il faut le faire avec subtilité. Vous ne devez pas donner l’impression qu’il s’agit de la chose la plus importante pour vous. Même chose pour les RTT. Vouloir à tout prix en connaître le nombre donnerait l’impression de vouloir partir en vacances avant même d’avoir commencé à travailler pour l’entreprise.

À l’inverse, c’est le recruteur qui peut vouloir savoir combien vous voulez être payé (les fameuses prétentions salariales).

Pour partir sur une bonne base, il faut le faire de son salaire actuel, et l’augmente raisonnablement, surtout si vous êtes en poste. Partir, oui, mais pas à n’importe quel prix, où alors c’est qu’il y a un loup.

D’un autre côté, demander trop fermerait sûrement toutes les portes. A vous de savoir trouver un juste milieu. Si la conversation dévie sur les chiffres, il faudra être précis, et ne pas rester évasif.

Les entretiens d'embauche des entreprises et métiers qui recrutent

Il y a des secteurs où on embauche beaucoup. Les métiers de la banque par exemple ont des process bien à eux. Le classement des entreprises qui recrutent le plus permet donc de se préparer en conséquence.

Le secteur de la restauration, avec les deux géants que sont McDonald’s et Quick, celui des transports avec la SNCF, celui de l’énergie avec EDF, du BTP avec Vinci et Bouygues, de la grande distribution avec Carrefour, de la banque avec le Crédit Agricole et la Poste (les banques recrutent beaucoup et toute l’année), des services avec O2.

Restauration rapide: Mc Do, Quick…

Les chaînes de fast food sont une véritable niche pour trouver du travail, surtout quand on n’a pas de diplôme (c’est même un +, car un employé diplômé postule par défaut, ce qui ne plaît pas trop aux employeurs). Mais même si le nombre de postes proposés est important, il y a encore plus de candidats.

Il faudra quand même se démarquer, même si les entretiens d’embauche n’ont rien de sorcier. Il faut faire ressortir son sérieux et sa ponctualité, bien se présenter et montrer son intérêt pour le poste, en insistant sur ses possibilités d’être multitâches (ménage compris).

Réussir son entretien à la SNCF

Que l’on souhaite travailler comme conducteur de train, aiguilleur, contrôleur, commercial à bord des trains ou en gare, il faudra passer un entretien. Avoir été convoqué pour celui-ci est déjà une vraie chance par rapport au nombre de candidatures.

Rappelons quand même que l’entreprise est leader dans son secteur et qu’en principe, quand on rentre à la SNCF, c’est pour y faire toute sa carrière.

Votre motivation est votre meilleure arme. Il va donc falloir se montrer motivé au plus haut point et insistez sur la politique de formation dans l’entreprise, qui va permettre d’y progresser et d’occuper petit à petit des fonctions plus importantes, même s’il ne faut pas mettre la charrue avant les bœufs.

Mais il est clair que cette diversification des métiers donne envie. Parmi les arguments à évoquer, pensez à parler de l’international. La SNCF tente de s’y développer, et apprécie les profils prêts à migrer vers ces nouveaux marchés.

Bon à savoir : avant d’entrer à la SNCF, il faudra réussir certains tests, en plus de l’entretien d’embauche. Les candidats doivent donc se préparer à répondre à des questions de français et de maths, à des questions de logique, mais aussi à avoir un entretien avec un psychologue. Possibilité de trouver des exemples de tests en librairie et sur Internet.

Décrocher un job chez EDF

D’ingénieur à conseiller clientèle, en passant par téléconseiller EDF, il y a de quoi faire dans l’entreprise, d’autant plus que l’entreprise se développe en France comme à l’internationale. Rappelons quand même que le groupe est le premier fournisseur d’électricité dans le monde, ce n’est pas rien !

Lors de l’entretien, il faudra insister sur ses valeurs, notamment celle de la responsabilité. Préparez vos arguments avant de vous y rendre, notamment les raisons qui vous poussent vers un métier en particulier. Un conseil : bien connaître l’entreprise. Prenez vous y tôt, car il y a de quoi faire.

Carrefour

Le groupe recrute : qu’il s’agisse d’un caissier, d’une hôtesse de caisse, d’un manutentionnaire pour de la mise en rayon, il y a toujours de quoi faire quand on veut travailler dans une grande surface.

Bon à savoir : il y aura un premier contact téléphonique avant l’entretien proprement dit. Parmi les qualités recherchées : être au service du client, avoir une attitude positif les jours de pluie comme ceux de beau temps, et s’engager à fond dans son poste pour accompagner à son échelle le développement du groupe.

La Poste

Guichetier, facteur, commercial… La Poste offre beaucoup d’opportunités et lance régulièrement de grandes campagnes de recrutement.

À chacun donc de savoir saisir sa chance quand elle se présente. Comme pour n’importe quel métier, l’entretien se prépare donc avec le plus grand sérieux.

Il faut savoir de quoi on parle quand le grand jour de donner envie à l’entreprise de nous embaucher arrive. Il faut arriver à l’heure au rendez-vous, avec le nom de la personne qui va nous recevoir, car elles sont nombreuses aux RH !

Vous ne serez sans doute pas le seul à vous présenter au même moment, il ne s’agit pas d’être une aiguille perdue dans une motte de foin. Au niveau de la tenue, elle doit être correcte et sans signes ostentatoires. Pendant l’entretien, il faudra vous présenter, puis répondre aux questions.

Mais rappelez-vous que le dialogue doit se construire dans les deux sens. A votre tout, posez alors vos propres questions qui montrent votre intérêt vis-à-vis de la Poste, le tout dans le calme et la maîtrise de soi.

Rappelez-vous que la première impression est souvent la bonne, le début de la discussion est donc très important.

L’armée

Depuis qu’elle s’est professionnalisée, l’armée aussi fait passer des entretiens d’embauche. En plus viendront s’ajouter toute une batterie de tests physiques, médicaux et psy. Au final, c’est une commission qui rendra sa décision.

Pour éviter de se faire recaler bêtement, il est bon d’aller voir son médecin en amont, pour s’assurer que tout fonctionne bien. Physiquement, il faut arriver en forme, et donc s’être bien entrainé.

En entretien, la motivation du candidat va être la plus importante, ainsi que son goût pour vivre en communauté. L’armée n’est pas le bon endroit pour les solitaires. Même chose pour l’autorité. Il faut l’accepter.

Aide-soignante, infirmière (concours IFSI)

Quelles sont les qualités que doit développer un bon infirmier ? Et quels sont ses défauts ? Car à encore, on risque de vous poser la question qui fâche. Ne pas s’y préparer serait une erreur.

Il faut faire le point là-dessus avant de se rendre à l’entretien. Après, la décision finale reviendra au jury. Si vous insistez sur votre ponctualité, donnez des exemples. Même chose si vous mettez en avant votre rigueur.

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